Projet diorama / Anaïs Boudot


Ce projet est une proposition d’installation artistique portant sur la vision périfovéale, s’inscrivant dans une logique art-science.

Bien que chacun d’entre nous possède et utilise la vision périphérique au quotidien, celle-ci est mal connue et nous nous en servons sans nous en rendre compte. Le projet attire donc l’attention sur cette partie de la vision, secondaire d’une certaine manière, mais qui n’en est néamoins pas plus importante, pour la réception des stimulis, provoquant réactions et affects.

Le projet est à la fois un projet d’installation, mais aussi une proposition d’expérimentation scientifique, sur un mode novateur, visant trois objectifs :
-permettre de mieux comprendre la relation entre éléments perceptif périphérique et émotion. Cette partie est portée par L. Sparrow
-permettre de mieux comprend comment fonctionne la vision périphérique, en fonction de certains stimulis. Cette partie est portée par M. Boucart
-poser les bases logicielles d’un système interactif utilisant le point d’attention de l’utilisateur, en vue d’une utilisation future plus générique pour l’interaction. Cette partie est portée par L. Grisoni

L’interet de cette collaboration entre une artiste et des scientifiques de deux domaines (informatique et psychologie) doit etre envisagée sous plusieurs aspects pour en comprendre tous les aspects.
Tout d’abord, l’installation artistique bénéficiera de l’expertise des académiques présents, à la fois pour définir le contenu numérique de l’oeuvre, mais aussi son facteur de forme (c’est à dire sa réalité matérielle), et une base logicielle souple.
Les chercheurs en informatique participants profiteront de ce projet pour mettre en place une base logicielle souple permettant de mettre en place l’installation artistique et les enregistrements nécessaires aux expérimentations, mais aussi pouvant être utilisée dans des systèmes interactifs plus généralistes, qui pourront ainsi utiliser le suivi du regard comme partie intégrante des informations que pourra utiliser l’interaction homme-machine. Les chercheurs en psychologie participants pourront tirer partie du coté attractif de l’installation pour déployer leurs expérimentation, et du nombre important de participants que l’installation pourra acceuillir dans le cadre de ses diffusions.

De manière commune, les académiques impliqués trouveront dans ce projet un élément de dissémination de leurs savoirs et compétences tout à fait intéressant. D’un point de vue artistique, il s’agit d’interroger le regard, les notions d’image et de perception par des outils à la fois photographiques et technologiques. Par ce biais je réactualise des procédés anciens, leur donnant une autre dimension.

Ce projet est une proposition d’installation artistique portant sur la vision périfovéale, s’inscrivant dans une logique art-science.

Bien que chacun d’entre nous possède et utilise la vision périphérique au quotidien, celle-ci est mal connue et nous nous en servons sans nous en rendre compte. Le projet attire donc l’attention sur cette partie de la vision, secondaire d’une certaine manière, mais qui n’en est néamoins pas plus importante, pour la réception des stimulis, provoquant réactions et affects.

Le projet est à la fois un projet d’installation, mais aussi une proposition d’expérimentation scientifique, sur un mode novateur, visant trois objectifs :
-permettre de mieux comprendre la relation entre éléments perceptif périphérique et émotion. Cette partie est portée par L. Sparrow
-permettre de mieux comprend comment fonctionne la vision périphérique, en fonction de certains stimulis. Cette partie est portée par M. Boucart
-poser les bases logicielles d’un système interactif utilisant le point d’attention de l’utilisateur, en vue d’une utilisation future plus générique pour l’interaction. Cette partie est portée par L. Grisoni

L’interet de cette collaboration entre une artiste et des scientifiques de deux domaines (informatique et psychologie) doit etre envisagée sous plusieurs aspects pour en comprendre tous les aspects.
Tout d’abord, l’installation artistique bénéficiera de l’expertise des académiques présents, à la fois pour définir le contenu numérique de l’oeuvre, mais aussi son facteur de forme (c’est à dire sa réalité matérielle), et une base logicielle souple.
Les chercheurs en informatique participants profiteront de ce projet pour mettre en place une base logicielle souple permettant de mettre en place l’installation artistique et les enregistrements nécessaires aux expérimentations, mais aussi pouvant être utilisée dans des systèmes interactifs plus généralistes, qui pourront ainsi utiliser le suivi du regard comme partie intégrante des informations que pourra utiliser l’interaction homme-machine. Les chercheurs en psychologie participants pourront tirer partie du coté attractif de l’installation pour déployer leurs expérimentation, et du nombre important de participants que l’installation pourra acceuillir dans le cadre de ses diffusions.

De manière commune, les académiques impliqués trouveront dans ce projet un élément de dissémination de leurs savoirs et compétences tout à fait intéressant. D’un point de vue artistique, il s’agit d’interroger le regard, les notions d’image et de perception par des outils à la fois photographiques et technologiques. Par ce biais je réactualise des procédés anciens, leur donnant une autre dimension.